
Quand je lis dans l’article de la revue « Cerveau & Psycho » que les sciences affectives (du Centre Suisse en Sciences Affectives, dirigé par le Professeur David SANDER) s’associent pour obtenir « un consensus sur la définition de l’EMOTION », j’observe les efforts de nombreux scientifiques helvètes pour combler une lacune et faire une révolution dans les neurosciences.
Je ne peux m’empêcher de penser que le gruyère doit être fabriqué par tous les fromages de chèvre : toutes les nuances de l’affectivité n’ont rien à voir avec l’émotion. Cette émotion « scientifique et universitaire » a un « statut privilégié incontournable » pour détecter les conséquences humaines des problèmes économiques et surtout financiers de la population suisse.
Dans les neurosciences, d’après le Professeur SANDER, l’élément central du cerveau émotionnel fut un temps l’AMYGDALE DU SYSTEME LIMBIQUE. Les littéraires de ces groupes de recherche ont sûrement signalé que les limbes sont « la limite entre le sauvage et le civilisé ».
On trouve aussi, dans cette présentation des sciences affectives la caricature du cerveau humain représenté comme un puzzle couvert de quinze visages masculins et féminins.
Ce puzzle s’ajoute aux très nombreuses représentations du cerveau.


Le Doyen honoraire de la Faculté de Médecine de Montpellier, le Professeur Louis GOURGAS, a participé dès le début aux travaux de recherche sur la SCIENCE AFFECTIVE et a écrit aux Suisses, le 17 novembre 2013 :
« J’ai découvert, p. 51 de l’article « Cerveau et psyché », un nouveau concept : « une représentation des niveaux de valence et d’activation supposée donner une couleur AFFECTIVE à presque tous les états de conscience. »
« Il me serait fort agréable que l’antériorité des découvertes montpelliéraines soit admise à Genève. Il me paraîtrait aussi judicieux que les neurosciences – toujours dans l’impasse malgré les IRM et les caméras à positons pour mettre en évidence d’éventuels centres nerveux de l’affectif inconscient- s’associent aux formidables trouvailles de la Médecine Affective. »